samedi 29 décembre 2012

49 jours


          Voici un livre que j'avais vraiment hâte de lire! J'ai flashé sur la couverture et les bonnes critiques que j'ai lues m'ont bien convaincue!

          Floryan meurt dans un attentat dans le métro parisien. Il se réveille dans un endroit magnifique et un Elohim, une sorte d'ange, lui explique qu'il a 49 jours pour se décider s'il veut aller au Royaume, un lieu magnifique qui ressemble surement au paradis, ou sauter dans le Nihil, un gouffre dont on ne sait pas grand chose.

          Je ne vais pas en raconter plus car dans ce livre, tout va de surprise en surprise! Evidemment, j'ai été embarquée dans l'histoire et j'ai parfois eu beaucoup de mal à le reposer! Ça bouge tout le temps. Et les moments de pause sont tout à fait intéressants.

          Floryan ne m'a pas touché plus que ça. Il est en fait assez banal. Il fonctionne de manière prévisible et manque un peu de caractère. Pourtant, il vient d'un milieu qui aurait pu modeler son caractère d'une façon qu'on ne connait pas trop. En effet, il vient d'une famille riche et fréquente (de son vivant) des personnages du même niveau social. Ce n'est pas commun je trouve. Et ça aurait pu influencer ses décisions, ses actions, sans rentrer dans le cliché. C'est un petit regret.

          Les autres personnages sont très différents les uns des autres. Mais ils restent des mystères. Ils ne se dévoilent pas beaucoup... J'espère en retrouver lors du deuxième tome parce que je suis restée sur ma faim. Mais vu la fin du livre... je me demande vraiment à quoi m'attendre pour la suite... C'est une fin assez surprenante, et en même temps pas tant que ça!

          Le personnage de Rain est très intriguant. J'ai envie d'en apprendre plus! J'espère que c'est un effet tome 1 parce que les personnages restent, au final, entourés de mystère.

          Bref je vous laisse découvrir ce livre qui est vraiment passionnant et je le conseille évidemment! En plus c'est français!

La dernière guerre, tome 1: 49 jours,
Fabrice Colin,
Michel Lafont, 2012
(Couverture magnifique de Marc Simonetti)

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