Ce roman ne m’enthousiasmait pas quand je l’ai pris sur l’étagère. La couverture ne me plait pas : cela fait vieillot et les couleurs sont tristes. Par contre j’adore cette maison d’édition qui imprime ses ouvrages sur du papier rose ! Par contre je crois qu’ils ont arrêté… c’est dommage !
L’héritage de Karna est une trilogie qui suit une autre trilogie intitulée Le livre de Dina. Quand je dis « suivre » je parle chronologiquement, car on peut très bien lire celle-ci sans avoir lu la première. C’est d’ailleurs ce que j’ai fais.
A la fin du XIXe siècle, Benjamin Gronelv rentre dans sa ville natale au nord de la Norvège. Il faisait des études de médecine à Copenhague et ne revient pas au pays les mains libres : un bébé nommé Karna. Ce roman raconte l’enfance de Karna et la vie de son père comme médecin de campagne.
La couverture ne me plaisait pas et ne m’a pas encouragé à la lecture. Je ne sais pas si c’est cet a priori qui a rendu la lecture un peu ennuyeuse ou si ce n’est vraiment pas mon style de lecture. Ce roman commence par un prologue qui montre en fait les grands moments du roman par saccades. Je n’ai pas tout compris mais ce n’est pas un style d’écriture qui me plait. Le sens parait sibyllin, flou et j’ai trouvé ce prologue très très long. Donc ma lecture a commencé assez mal. Ensuite je me suis demandé si ce style saccadé allait continuer tout le livre. Et la réponse est non, heureusement. La lecture a donc été plus agréable. C’est une chronique familiale : ce genre de roman qui traite d’une famille sur plusieurs générations. Je dois avouer que je ne lis pas ce genre de livres car ça ne m’intéresse pas. Et là, ça ne m’a pas intéressé. Je ne suis pas rentrée dans l’histoire.
Par contre ce livre se lit très bien et je pense que les amateurs de ce genre d’ouvrages peuvent vraiment apprécier. Je ne critique pas du tout sa qualité ! C’est plutôt une histoire de goût.
L’Héritage de Karna, tome I : Mon péché n’appartient qu’à moi,
L’héritage de Karna est une trilogie qui suit une autre trilogie intitulée Le livre de Dina. Quand je dis « suivre » je parle chronologiquement, car on peut très bien lire celle-ci sans avoir lu la première. C’est d’ailleurs ce que j’ai fais.
A la fin du XIXe siècle, Benjamin Gronelv rentre dans sa ville natale au nord de la Norvège. Il faisait des études de médecine à Copenhague et ne revient pas au pays les mains libres : un bébé nommé Karna. Ce roman raconte l’enfance de Karna et la vie de son père comme médecin de campagne.
La couverture ne me plaisait pas et ne m’a pas encouragé à la lecture. Je ne sais pas si c’est cet a priori qui a rendu la lecture un peu ennuyeuse ou si ce n’est vraiment pas mon style de lecture. Ce roman commence par un prologue qui montre en fait les grands moments du roman par saccades. Je n’ai pas tout compris mais ce n’est pas un style d’écriture qui me plait. Le sens parait sibyllin, flou et j’ai trouvé ce prologue très très long. Donc ma lecture a commencé assez mal. Ensuite je me suis demandé si ce style saccadé allait continuer tout le livre. Et la réponse est non, heureusement. La lecture a donc été plus agréable. C’est une chronique familiale : ce genre de roman qui traite d’une famille sur plusieurs générations. Je dois avouer que je ne lis pas ce genre de livres car ça ne m’intéresse pas. Et là, ça ne m’a pas intéressé. Je ne suis pas rentrée dans l’histoire.
Par contre ce livre se lit très bien et je pense que les amateurs de ce genre d’ouvrages peuvent vraiment apprécier. Je ne critique pas du tout sa qualité ! C’est plutôt une histoire de goût.
L’Héritage de Karna, tome I : Mon péché n’appartient qu’à moi,
Herbjorg Wassmo,
Gaïa, 2000
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