Alors voilà un livre que j’ai acheté sur un coup de tête ! J’ai aimé la couverture sanglante à ce moment là et une phrase en 4ème de couverture :
« Moi, si un jour je fais un massacre dans une bibliothèque, je mettrai un silencieux à mon flingue. C’est important le calme. »
« Moi, si un jour je fais un massacre dans une bibliothèque, je mettrai un silencieux à mon flingue. C’est important le calme. »
Je vais prendre l’explication de l’éditeur pour vous expliquer cet ouvrage parce qu’il présente parfaitement ce recueil :
« Entre humour noir et verve déjantée, mêlant maîtrise formelle et blagues de potaches, audace stylistique et jeux de langue, les nouvelles de ce recueil, tour à tour poétiques, scatologiques, absurdes, graves ou résolument trash, conduisent insensiblement le lecteur à une réflexion sur le corps et la ville, la féminité et l’identité sexuelle, l’apparence et l’être. Un recueil qui signe des débuts littéraires fracassants! »
Mon avis… Tout d’abord, Je tiens à m’excuser auprès de Céline Robinet car je n’arrive pas à dire la vérité sans donner envie aux autres de lire ce recueil. Car oui, j’ai failli vomir en lisant ce livre, oui pas mal de nouvelles m’ont fait dire « Beurk » ou « Arg ». Mais je n’arrête pas de dire que je me suis beaucoup amusée en lisant ce livre. L’auteur a énormément d’humour ! C’est très très bien écrit en plus ! Alors oui c’est parfois trash mais j’ai envie de dire : il faut essayer pour être sûr que ça ne nous plaît pas ! Moi j’ai rigolé dans le train de nombreuses fois ! D’ailleurs les gens devaient se demander pourquoi je riais en lisant un livre dont la couverture est aussi sanglante !!!
Vous avez le droit d’être de mauvaise humeur mais prévenez les autres,
Céline Robinet,
Au diable vauvert, 2005
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